logo

Dernières de El Djoumhouria

Affaire Rabiot : Pablo Longoria évoque « un événement d'une violence extrême, quelque chose d'inouï »
Affaire Rabiot : Pablo Longoria évoque « un événement d'une violence extrême, quelque chose d'inouï »

L'Équipe

time16 minutes ago

  • Sport
  • L'Équipe

Affaire Rabiot : Pablo Longoria évoque « un événement d'une violence extrême, quelque chose d'inouï »

Dans un entretien accordé à l'AFP ce mercredi, le président de l'Olympique de Marseille Pablo Longoria a justifié la mise à l'écart d'Adrien Rabiot par « un événement d'une gravité et d'une violence extrême » survenu après la défaite à Rennes vendredi (0-1). L'incident qui a opposé vendredi soir Adrien Rabiot à Jonathan Rowe et qui a poussé l'OM à placer les deux joueurs sur la liste des transferts après la défaite à Rennes est « un événement d'une gravité et d'une violence extrêmes, quelque chose d'inouï », a déclaré mercredi le président du club Pablo Longoria dans un entretien accordé à l'AFP. « On a dû prendre une décision après un événement qui a dépassé les limites acceptables dans un club de football, comme dans toute organisation », a expliqué Pablo Longoria, évoquant « une décision qui protège l'institution, qui protège la saison ». « Roberto De Zerbi entraîne depuis 13 ans, Medhi Benatia est dans le football de haut niveau depuis qu'il a 22 ans, moi j'ai commencé dans le football professionnel il y a 20 ans. Je crois qu'on a assez d'expérience tous les trois pour dire que jamais on n'avait vu une telle chose dans un vestiaire », a-t-il ajouté. Impliqués dans une bagarre samedi après la défaite contre le Stade Rennais (0-1), Rabiot et Rowe ont été privés d'entraînement lundi, avant que le club indique mardi dans un communiqué que les deux joueurs avaient été « placés sur la liste des transferts » en raison d'un « comportement inadmissible dans le vestiaire ». Du coup de foudre à la tempête, l'incroyable divorce entre Adrien Rabiot et l'OM

À Venise, le football vit caché
À Venise, le football vit caché

L'Équipe

time16 minutes ago

  • Sport
  • L'Équipe

À Venise, le football vit caché

Venise : ses canaux, sa lagune, sa situation géographique et son stade au bord de l'eau... La Cité des Doges constitue un endroit unique au monde pour pratiquer et vivre le football, alors que le club vient d'être relégué en Serie B. Venise est de ces rares villes qui ne laissent personne insensible. Qu'on l'ait visitée ou non, on l'a rêvée, fuie, aimée, peut-être haïe, après un coup de soleil lors d'une balade en gondole ou une trop longue file d'attente au palais des Doges. L'art, le cinéma, la musique ou des couples d'amis nous rappellent souvent à son souvenir. Le foot, pas vraiment. « Je ne savais même pas qu'il y avait une équipe », me glisse un touriste français croisé à l'aéroport. Malgré des passages en Serie A, Venise ne s'impose toujours pas comme une ville de foot dans l'imaginaire collectif. Et difficile d'en vouloir aux voyageurs. Retrouvez d'autres villes de foot Alors que l'Italie frémit avant le dernier week-end de mai pour l'ultime journée qui sacrera Naples au détriment de l'Inter, et que la Cité des Doges joue sa survie dans l'élite face à la Juve, la place Saint-Marc semble impassible. Malgré le fourmillement infernal du coeur de ville, je n'aperçois ni maillot du club, ni bar en fusion. Ici, c'est la norme. Le foot vit caché. Pour le trouver, il m'a fallu me perdre dans le labyrinthe de ses étroites ruelles. Tout d'un coup, j'entends un gang de pigeons s'envoler, effrayé par le rebond d'un ballon bleu sur l'église San Giacomo dell'Orio. C'est là, sur ces campos, que les jeunes locaux inventent le foot à la vénitienne. « C'est à San Giacomo que j'ai appris à jouer. On créait notre espace de jeu, ça favorise la créativité ! » sourit Tommaso Kusch, 20 ans et enfant de la ville. Comme il le faisait avec ses potes dix ans plus tôt, une quinzaine de gosses s'y sont rejoints, juste après la cloche de fin des cours. Le mur de l'église se mue en but, quand ce rôle n'est pas joué par des pulls en boule ou des sacs à dos. Et là, plus rien d'autre n'existe. Ni moi, qui tente timidement de leur montrer mes talents après que la balle m'a frôlé, ni les touristes autour desquels ils slaloment. Quand les ballons finissent dans l'eau En balayant le campo du regard, on tombe sur trois fillettes à la chasse aux fourmis, un autre groupe dessinant une marelle à la craie et des parents sirotant un verre au bar d'à côté, en les surveillant à peine, dans cette ville sans voiture. Ici, il n'y a que des gondoles, très utiles pour récupérer les ballons flottant dans les canaux. « Jouer au foot à Venise, c'est ça. On a des interactions uniques au monde », assure Tommaso, dans un français parfait. Si son foot de rue n'est pas célèbre pour avoir sorti des stars, il s'est créé une identité. « En Italie, quand quelqu'un garde trop la balle, on lui dit : "Arrête de faire ton Vénitien", argue Ermanno Rosso, président depuis 2012 du club de Sacca Fisola, petite île au sud de Venise. Dans la rue, les petits font peu de passes et les tennis-ballons au-dessus des canaux les ont rendus techniques. Comme des Brésiliens ! » Sur sa minuscule terre, à cinq minutes de vaporetto (bateau-bus, transport en commun local) du centre historique, l'élégant Ermanno tente de faire perdurer le foot traditionnel. « Dans le passé, notre île était gangrénée par le crime, la mafia, la malavita. On se servait du foot pour sortir les gamins de la rue. Aujourd'hui, on a gardé cette mission sociale. » Les années ont apaisé les moeurs. Mais sur son îlot hors du temps, rien ne semble avoir bougé depuis des décennies, si ce n'est la rénovation du terrain synthétique communal, niché au creux de bâtiments colorés mais décrépis. Le logo du club, ce lion de Saint-Marc ballon à la patte, rugit sur le mur du petit QG. Une publication partagée par Pitchhunters (@pitchhunters) Et, comme depuis la plupart des terrains vénitiens, on profite d'une vue sur mer. « Chaque année, une cinquantaine de ballons finissent à l'eau », se marre Ermanno. Heureusement, Andrea Rizzo, directeur sportif du club et gondolier, en sauve. « Je fais le meilleur métier du monde ! » se réjouit-il. Plus de touristes que d'habitants Plus les années passent, moins les ballons disparaissent. Non, les enfants de Sacca Fisola ne sont pas devenus des finisseurs hors pair, ils sont juste moins nombreux. « Avant, il y avait une vingtaine d'équipes dans tout Venise. Aujourd'hui, elles se comptent sur les doigts d'une main : le Lido, Burano, Murano... Les autres ont disparu ou fusionné », regrette-t-il, en m'offrant un spritz au bar du coin. Le foot n'est qu'un symptôme du mal qui ronge la Cité des Doges : en soixante-quinze ans, elle a perdu plus de 70 % de sa population. Trop prisée, la belle Venise ne s'appartient plus, abandonnée aux touristes et aux pigeons. Croulant sous le poids de la foule, le pont du Rialto devient celui des soupirs pour les locaux. La vie se fait plus coûteuse. Alors, beaucoup laissent leur maison familiale se transformer en Airbnb ou en hôtel, leur boutique se faire engloutir par la vague d'immigration bangladaise (à Venise, un nouveau citoyen italien sur trois vient du Bangladesh)... Et peu à peu, l'identité si particulière de la ville s'évapore. Depuis le 9 septembre 2023, le nombre de lits touristiques a dépassé celui des résidents. « Le tourisme, c'est notre pétrole, mais il étouffe Venise. Nos enfants ne peuvent plus y acheter de logement. Ils doivent quitter la ville. La population vieillit », constate Ermanno Rosso. Visite guidée de Bergame, nouvelle place forte européenne En me promenant sur son immense place Saint-Marc, je comprends mieux la chanson de Serge Reggiani : Venise n'est pas en Italie, ici, c'est chez n'importe qui. Au creux de ses ruelles où les piétons font des bouchons, rares sont les fois où l'italien m'effleure les tympans. Cette démographie unique offre à ses footballeurs pros un privilège : celui de vivre totalement incognito dans leur ville. En ce jour de match, mettre la main sur un supporter du Venezia FC devient une sorte de Où est Charlie ? Sauf qu'on interchange son t-shirt rayé, porté par les gondoliers, par un maillot. Pour en trouver, j'ai triché : un groupe d'habitués de la Curva Sud m'attend au Campo San Paulo. Écharpe au cou, maillot au corps, la bande a promis de me faire vivre la « véritable expérience d'avant-match vénitienne ». Le bateau, le bus des stades vénitiens Dès le pied posé sur l'embarcation en bois de Rocco Plessi, l'un des copains, l'engagement était tenu. Sous la lumière du soir, notre petit bateau navigue entre les sublimes façades gothiques de la cité, avant de s'enfoncer au coeur de la lagune. Plus ça accélère, plus je suis trempé. Dans un vaporetto au loin, j'aperçois drapeaux et maillots de la Juve. « Parfois, avant les matches, des bateaux remplis de supporters adverses se croisent. Celui qui chante le plus fort gagne la bataille navale », raconte Marco Minto, 31 ans, peintre en parallèle de son job en marketing. La barque jette l'ancre Via Garibaldi, à un quart d'heure à pied du stade. Repaire des supporters, la rue se gorge de tifosi au fil des minutes. Du noir dans le regard des pessimistes, du blanc sur les maillots et de l'orange dans les verres de spritz, cette jeune foule dégage une esthétique rare. Leurs maillots, chics et inspirés de la ville, y sont pour beaucoup. Depuis plusieurs saisons, ces pièces s'arrachent à l'international. Le fruit d'une imagerie insufflée par Ted Philipakos, directeur de la marque du club de 2020 à 2023 et créateur des maillots. « Ma mission était de faire du club un ambassadeur de cette cité unique en représentant ses valeurs, sa culture et ses habitants », m'explique l'Américano-Grec. Sa plus belle réussite n'est pas d'avoir remis Venise sur la carte du foot, mais d'avoir reconquis l'amour de ses habitants. « Ma plus grande fierté ? Voir le stade plein : des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des locaux, des touristes... » L'heure tourne, les verres n'ont plus d'orange, alors ce beau monde se presse. Cap à l'est, quartier de Sant'Elena, principal vestige de l'âme vénitienne sur l'île. Au fil des pas, l'ambiance s'italianise. Les commerces se raréfient, les murs prennent une couleur de terre battue, les vêtements sèchent au soleil sur un fil attaché d'un côté à l'autre de la rue... « C'est un endroit un peu oublié des touristes. Les résidents ont peur que leur trésor soit découvert », taquine Tommaso Kusch, jeune président de l'association sportive Sant'Elena. Longeant la mer, le chemin emprunté me mène à un premier terrain, rénové quelques jours plus tôt. Sur ce synthétique, une vingtaine d'enfants s'affrontent. Les arbres, la mer, et le soleil se couchant au dos du Campanile di San Giorgio Maggiore les observent. « C'est le seul terrain public où les jeunes peuvent jouer quand ils veulent », note Tommaso. L'arène étant pleine, des touristes espagnols improvisent un foot sur l'herbe avoisinante. Comme un symbole de deux Venise qui vivent côte à côte mais ne se parlent pas. En marchant quelques centaines de mètres, j'arrive au nid du Venise FC. Ici, le parking est un port - on aperçoit les mâts depuis le stade - et, en ce soir de match, le brouhaha camoufle la mélodie des coques qui s'entrechoquent. Trônant sur la pointe est de l'île historique, face à la mer, le stade Pier Luigi Penzo, inauguré en 1913, est le deuxième plus ancien d'Italie. Sûrement le plus spécial. « J'y ai joué près de 150 matches et j'ai vécu chaque fois comme si c'était la première, confie l'ex-défenseur Marco Modolo, légende du club avec 273 rencontres entre 2009 et 2024. Arriver en bateau, ressentir la beauté de la ville... Tu ne peux vivre ça nulle part ailleurs. Pour nos adversaires, c'est tout aussi fou ! » Le déménagement, un déchirement Cette expérience unique se contera bientôt au passé. Si, d'après une étude de l'Institut national italien de géophysique et de volcanologie parue en mars, Venise pourrait se voir submergée en 2100, le Venise FC, lui, quittera la lagune dès 2027. En avril, le club a annoncé la construction de son nouveau stade de 18 500 places proche de l'aéroport Marco-Polo, sur la partie terrestre. Un déchirement, pour beaucoup. « On perd une partie de notre identité. Le nouveau stade ne pourra pas être aussi romantique », se résigne Marco Minto, même si ce déménagement l'arrange. Comme beaucoup de fans, il habite Mestre, de l'autre côté du pont de la Liberté. Et si ce grand brun appelle son équipe « l'Union », c'est parce qu'à la fin des années 1980, le calcio de Venise terre et de Venise mer ne faisait qu'un. L'éphémère fusion Venise-Mestre n'a laissé qu'un mince héritage au club : sa couleur orange et une petite rivalité. « La ville de Mestre, c'est presque un autre pays ! » lance Tommaso Kusch. Depuis 1991, la partie terrestre fait à nouveau cavalier seul en Serie D. « Le dernier derby remonte à neuf ans. L'ambiance était chaude ! » rit Enrico Busolin, directeur général de l'AC Mestre. L'atmosphère l'est un peu plus ce 25 mai. Depuis la tribune, je vois et j'entends les Curve finaliser leurs préparatifs, accompagnées par One Dance de Drake. Ça peut paraître fou mais, si ce match se joue, c'est aussi un peu grâce au rappeur canadien et à sa marque Nocta, l'équipementier du club depuis l'été dernier. En août 2024, alors que l'équipe venait de valider sa montée en Serie A, l'artiste a évité aux propriétaires américains de vivre la quatrième faillite du club (après 2005, 2009 et 2015) en levant 34,3 millions d'euros. Que Drake ne se vexe pas, son art ne fera pas danser les fans ce dimanche. À moins d'un miracle, car c'est ce qu'il faut pour maintenir le club : un succès face à la Juve et une contre-performance de Lecce et Empoli. « Au cas où le "miracolo" se produirait », Edoardo Mognato, natif de Venise, est rentré de Serbie, où il travaille. Heureusement, pas de retard d'avion, car dès la première minute, les locaux marquent. Le stade explose. En soixante-dix secondes, « l'impossible » se transforme en « et si » ? La rivalité avec Padoue en Serie B Mais quatre-vingt-dix minutes de combat plus tard, le soleil a disparu au-dessus du Penzo et les espoirs aussi : défaite 2-3, victoire de Lecce et descente en Serie B. Que c'est triste Venise, quand on ne gagne plus. Les vaincus vont saluer la Curva Sud, l'air désolé. La tribune chante et applaudit ses soldats vaincus. « Les fans ont été fantastiques, ils savent que l'équipe a tout donné », confie Marco Modolo, membre du staff. Les supporters quittent le stade. « Je suis un peu triste, mais on se doutait que ça finirait ainsi, le club n'a pas d'argent (plus petit budget avec 45 millions d'euros). Venise en Serie A, c'était un mirage », reconnaît Marco Minto. Ce n'est pas faux : depuis la création de ce Championnat voilà presque cent ans, le club n'y a évolué que quatorze saisons. « Venise est unique et le restera, quelle que soit la division. Nous reviendrons », renchérit-il avant de prendre son bateau retour. Au bar Strani, leur QG, les fans boient le verre à moitié plein : six ans après, ils vont retrouver Padoue, leur meilleur ennemi, promu de Serie C. Et pourront se consoler avec leur autre club. Car ici, trop habitués à voir le VFC squatter les divisions inférieures, chacun s'est choisi une équipe de coeur dans l'élite. « Moi, je supporte l'AC Milan. Venise, c'est ma mère, Milan, c'est ma femme », avoue Ermanno Rosso. Plus qu'à attendre le prochain repas de famille.

Corentin, 11 ans, mort après une opération de l'appendicite : « Faire éclater au grand jour la chaîne de défaillance »
Corentin, 11 ans, mort après une opération de l'appendicite : « Faire éclater au grand jour la chaîne de défaillance »

Le Parisien

time16 minutes ago

  • Politics
  • Le Parisien

Corentin, 11 ans, mort après une opération de l'appendicite : « Faire éclater au grand jour la chaîne de défaillance »

Pierre Jeras est médecin psychiatre. Il a vécu l'indicible et l'impensable, mais il poursuit toujours son activité libérale à son cabinet d'Illange (Moselle). « Je ne vais pas m'étaler sur ma douleur à mes patients » dit-il sobrement. Depuis 2014, il traîne son désespoir d'avoir perdu son fils unique, Corentin, après une opération de l'appendicite qui a mal tourné. « Corentin aura toujours 11 ans, et moi je suis mort avec lui ce jour-là », affirme ce père en souffrance. Les parents du jeune garçon se battent depuis plus d'une décennie pour que toutes les personnes qu'ils estiment responsables du décès de leur fils soient jugées.

Vous recherchez une trottinette pour la rentrée ? Ce modèle cumule 2 promos chez AliExpress
Vous recherchez une trottinette pour la rentrée ? Ce modèle cumule 2 promos chez AliExpress

Le Parisien

time16 minutes ago

  • Business
  • Le Parisien

Vous recherchez une trottinette pour la rentrée ? Ce modèle cumule 2 promos chez AliExpress

La rédaction du Parisien n'a pas participé à la réalisation de cet article. . AliExpress va vous faire aimer la rentrée. En ce moment, son catalogue affiche une flopée de promotions sur les articles essentiels pour reprendre le travail ou l'école. C'est le cas de la trottinette iScooters iX7pro, un modèle robuste conçu pour les trajets quotidiens et le hors-piste. Équipée d'un double moteur de 2 000 W, elle roule jusqu'à 60 km/h sans faiblir dans les côtes à 25 %. Ce scooter électrique allie confort, puissance et praticité le tout à un prix remisé de 87,88 euros jusqu'au 27 août. Vous pouvez aussi profiter des coupons offerts sur la plateforme pour économiser 25 euros supplémentaires. Estampillé Local+, ce modèle est livré rapidement sans frais. La trottinette iScooter iX7pro est à 595,27 euros au lieu de 683,15 euros ou 570,27 euros avec le coupon offert par AliExpress. En ce moment des codes promos sont valables sur une sélection de produits AliExpress : 2€ de remise dès 10€ d'achat:BSFR02 3€ de remise dès 15€ d'achat:BSFR03 5€ de remise dès 30€ d'achat:BSFR05 10€ de remise dès 69€ d'achat:BSFR10 15€ de remise dès 99€ d'achat:BSFR15 25€ de remise dès 139€ d'achat:BSFR25 35€ de remise dès 199€ d'achat:BSFR35 45€ de remise dès 269€ d'achat:BSFR45 55€ de remise dès 349€ d'achat:BSFR55 60€ de remise dès 429€ d'achat:BSFR60 Quels sont les points forts de la trottinette en promo chez AliExpress ? Évaluée en moyenne 4,9 étoiles sur 5, la trottinette électrique iScooter iX7pro est surtout prisée pour sa conduite polyvalente réglable sur 8 modes. Notez que la puissance de son moteur et sa vitesse de pointe requiert une immatriculation en France. Vous pouvez aussi la brider à 25 km/h pour une utilisation conforme à la réglementation en ville. Pour une conduite souple sur les chemins de campagne, ce modèle emploie des pneus tubeless de 10 pouces et 4 suspensions qui améliorent l'adhérence. Vous pouvez également vous reposer sur son double système de freinage composé de disques et d'E-ABS pour garder le contrôle sur les terrains difficiles. Autre atout : la trottinette électrique iScooter iX7pro est équipée de feux avant et arrière ainsi que de clignotants gauche et droite. En termes d'autonomie, elle annonce 50 km qui peuvent varier selon la charge, le mode de conduite et la vitesse. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur la trottinette chez AliExpress

« Elle ne boxe plus » : championne olympique à Paris malgré les polémiques, Imane Khelif s'éloigne de son sport
« Elle ne boxe plus » : championne olympique à Paris malgré les polémiques, Imane Khelif s'éloigne de son sport

Le Parisien

time16 minutes ago

  • Sport
  • Le Parisien

« Elle ne boxe plus » : championne olympique à Paris malgré les polémiques, Imane Khelif s'éloigne de son sport

Le temps du sourire, médaille d'or olympique autour du cou, semble bien loin pour Imane Khelif. Depuis son sacre il y a un an à Paris, la boxeuse algérienne a disparu des rings. Elle avait pourtant quitté son club de Nice dans le but de signer un contrat professionnel. Mais « Imane n'a pas seulement quitté Nice, elle a quitté le monde de la boxe », a révélé mercredi son ancien manager, Nasser Yesfah, à Nice-Matin. Lors de l'olympiade parisienne, l'Algérienne s'était révélée en décrochant l'or dans la catégorie des moins de 66 kg. Mais Khelif avait subi une campagne de cyberharcèlement concernant son hyperandrogénie, c'est-à-dire la présence de caractéristiques génétiques masculines dans son corps. Ce qui constituait, selon ses détracteurs, un énorme avantage, voire une triche. Cette vague de haine n'avait pas empêché la boxeuse de 26 ans de continuer le fil de sa carrière en tentant le passage au statut professionnel. Mais pour cela, il fallait s'éloigner de Nice selon Nasser Yesfah. « Le Nice Azur Boxe ne pouvait pas proposer de contrat pro à Imane parce qu'il n'avait pas les moyens. Elle a fait un combat à Singapour, mais elle devait en faire cinq avant de signer pro, ce qui ne s'est pas fait à cause des polémiques. » « Après ce qu'il s'est passé aux JO… » La descente aux enfers a alors commencé pour Khelif. Pour son retour sur les rings, à Eindhoven aux Pays-Bas, elle devait passer des tests de genre. Mais avant même de savoir si l'Algérienne avait réellement été soumise à ces examens, elle était exclue du tournoi. En juin, un test chromosomique contesté par le Comité international olympique est diffusé. Effectué lors des Mondiaux 2023 en Inde, il affirme que la boxeuse possède des gamètes masculins. À voir aussi De quoi relancer la polémique autour de la championne olympique. Victime de la furie des réseaux sociaux, Khelif avait même porté plainte pour cyberharcèlement aggravé. Et cette situation a impacté sa carrière. « Actuellement, elle a tout arrêté. Elle n'a même pas repris, elle ne boxe plus. Après ce qu'il s'est passé aux JO… De toute façon, elle sera soumise au même type de test si elle devient professionnelle », confie Yesfah.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store